LucienFavre : "Je ne suis pas du tout agacé". L'OGC Nice joue son avenir européen jeudi soir face au Maccabi Tel Aviv. Les Aiglons doivent renverser les Israéliens, Abonnez-vous Ce dimanche 6 janvier, Canal+ diffuse un documentaire édifiant sur le racisme dans le monde du football. Un fléau qui envahi les gradins et que les stars de la discipline dénoncent... © capture écran canal+ Les stades sont régulièrement le théâtre d'actes racistes, dont découlent parfois des gestes marquants, voire choquants, à l'image de la la banane ramassée, puis mangée en plein match, par Daniel Alves, à Villarreal. Pour comprendre comment les joueurs vivent ces moments, Olivier Dacourt fait témoigner de grandes stars, comme Samuel Eto'o, Mario Balotelli, Patrick Vieira, ou encore Samuel Umtiti. Tous racontent, à leur manière, ce qu'ils ont vécu et ressenti. Olivier Dacourt part également à la rencontre d'entraîneurs, d'arbitres et de dirigeants de clubs, ceux qui, sur le terrain ou en dehors, ont le pouvoir de faire évoluer les choses. Il se confronte notamment à un supporter fasciste, qui justifie le fait d'insulter des joueurs par la seule couleur de leur peau... Après son premier documentaire "Ma part d'ombre" dans lequel Zlatan Ibrahimovic ou encore Thierry Henry dévoilaient leur côté sombre », et leurs cicatrices de vie, Olivier Dacourt, revient avec ce second volet toujours consacré à l'univers du foot intitulé "Je ne suis pas un singe". Un titre volontairement choquant pour parler du racisme dans le monde du football, un fléau qui peu à peu envahi les stades français. Plusieurs sportifs apportent leurs témoignages dont champion du monde Samuel Umtiti, qui évoque sa triste expérience "On est en 2018, ça le racisme ndlr existe encore, ça m'a choqué", ou encore Samuel Eto'o qui raconte "Je voyais des gens dans les tribunes, entrain de faire des bruits de singes..."Olivier Dacourt dresse le bilan d'un phénomène inquiétant qui va à l'encontre des valeurs sportifs et dont la FIFA ne semble pas réellement prendre ne suis pas un singe est diffusé dimanche 6 janvier à sur Canal+.Sarah Ibri Ilen aura fallu, du temps, pour que la douleur liée aux symptômes du monkeypox soit évoquée par les autorités sanitaires. Ce n’est que le vendredi 9 juillet, lors du premier point presse sur le sujet, que le directeur général de la Santé Jérôme Salomon a évoqué la souffrance rapportée par de nombreux patients atteints de la variole du singe, insistant sur la nécessité

Démasqué lors du premier épisode de Mask Singer saison 4, ce mardi 23 août sur TF1, Frédéric Diefenthal revient pour Télé Star sur son aventure sous le masque du pain d' Star Pourquoi avez-vous choisi de participer à l'émission ?Frédéric Diefenthal J'avais envie de m'amuser un petit peu, de voir ce que c'était. De temps en temps, il faut savoir tenter, jouer le jeu. Je me suis dit que ce serait con de ne pas le faire et c'était maintenant ou jamais. Dans 10 ans, je ne sais pas si j'aurais pu tenir aussi longtemps dans le costume rire. Il faisait très chaud là-dedans !Vos proches ont-ils été surpris de vous voir dans une émission comme Mask Singer ?Beaucoup, d'autant que certaines personnes ont regardé sans savoir que j'étais dedans. Elles ont été agréablement surprises. Il faut dire que je ne suis pas un client régulier d'émissions de télévision ou de shows de ce avez révélé être claustrophobe. N'aviez-vous pas peur que cette phobie vous pose problème ?Je ne dirais pas que je suis claustrophobe, juste que je n'aime pas être enfermé. En fait, je ne me suis pas rendu compte avant que ça pouvait poser problème. Je l'ai découvert en essayant le costume. Ils m'ont mis les pieds, puis le corps, et ça allait, mais au moment où ils m'ont mis la tête, je me suis dit 'Oh merde' rire. J'ai eu besoin d'un petit temps d'adaptation mais ça s'est vous cachiez sous le pain d'épices. Aviez-vous choisi ce costume ?On m'a fait plusieurs propositions, mais oui, mon choix s'est rapidement porté sur le pain d'épices. C'est décalé, enfantin, gourmand et très simple en même temps. Ça me souvenir gardez-vous de cette aventure ?J'ai adoré découvrir les coulisses du show. C'est passionnant pour quelqu'un comme moi, dont ce n'est pas le métier. Je suis habitué aux tournages, mais sur une émission comme ça, il y a toute une machinerie derrière. C'est incroyable. Et puis le fait de devoir cacher mon identité en coulisses, ça donnait à l'aventure un petit côté film d'espionage ! rireJeff Panacloc n'a pas mis longtemps à vous démasquer. Pensiez-vous que ce serait si rapide ?Je n'y avais pas pensé avant l'émission, mais quand j'ai vu que Jeff Panacloc prononçait mon nom si vite, je n'ai pas été surpris. Je me suis dit que c'était évident. Il a une oreille très vous étiez déjà croisés dans la vie ?Non, pas du tout. On se connait à travers nos œuvres respectives. D'ailleurs, je suis très admirateur de Jeff. C'est un jeune homme très talentueux et ça me fait grand plaisir qu'il ait vu mes déçu de ne pas être allé plus loin dans l'aventure ?Ça m'aurait amusé de jouer le jeu plus longtemps, mais je suis déjà très satisfait du moment que j'ai vécu. C'était un moment très fort, très intense. Le tournage avec le public, les répétitions, c'est assez intense, au point que j'en avais même complètement oublié la compétition. Donc peut-être qu'il y a une petite frustration par rapport aux autres chansons que j'avais préparées, mais aucune déception. J'ai pris le parlant de chanson, vous avez choisi d'interpréter "Ça plane pour moi" de Plastic Bertrand. Pourquoi ce titre ?C'est un titre intemporel, dansant, toujours moderne. Tout le monde la connaît, l'a en tête. Même si elle est sortie il y a longtemps, elle est oujours dans l'ère du temps. Après tout, les années 1970 et 1980 sont toujours là, il n'y a qu'à voir ce qui se passe avec Stranger Things et la chanson de Kate Bush. C'est hallucinant. Et puis j'adore cette chanson, tout simplement ! Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités © CHRISTOPHE CHEVALIN - TF1 2/12 - Frédéric Diefhental Un peu claustrophobe, Frédéric Diefhental a eu du mal à s'habituer au costume de pain d'épices. © TF1 3/12 - Frédéric Diefhental Frédéric Diefhental a été démasqué ! © TF1 4/12 - Frédéric Diefhental Frédéric Diefhental "J'avais envie de m'amuser un petit peu, de voir ce que c'était. De temps en temps, il faut savoir tenter, jouer le jeu. " © CHRISTOPHE CHEVALIN - TF1 5/12 - Frédéric Diefhental Sur le plateau, Frédéric Diefhental a interprété "Ça plane pour moi" de Plastic Bertrand. © CHRISTOPHE CHEVALIN - TF1 6/12 - Frédéric Diefhental Frédéric Diefhental "Mon choix s'est rapidement porté sur le pain d'épices. C'est décalé, enfantin, gourmand et très simple, en même temps. Ça me plaît." © CHRISTOPHE CHEVALIN - TF1 7/12 - Frédéric Diefhental Frédéric Diefhental sur le plateau de "Mask Singer". © CHRISTOPHE CHEVALIN - TF1 8/12 - Frédéric Diefhental "Mes proches ont été agréablement surpris. Il faut dire que je ne suis pas un client régulier d'émissions de télévision ou de shows de ce genre." © CHRISTOPHE CHEVALIN - TF1 9/12 - Mask Singer Frédéric Diefhental a été démasqué lors du premier épisode de Mask Singer. © TF1 10/12 - Jeff Panacloc Frédéric Diefhental a été démasqué par Jeff Panacloc. © TF1 11/12 - Mask Singer Mask Singer © TF1 12/12 - Frédéric Diefhental Frédéric Diefhental se trouvait sous le costume du pain d'épices.

LaPlanète des singes : l'affrontement est un film réalisé par Matt Reeves avec Andy Serkis, Jason Clarke. Synopsis : Une nation de plus en plus nombreuse de singes évolués, dirigée par
l'essentiel La réussite pour Salam, le documentaire de Diam's a été impressionnante. Le film sur la rappeuse a été diffusé au cinéma pendant deux jours et a totalisé 90 000 entrées. Ce portrait cinématographique revient sur la vie de la star des années 2000-20010 après sa disparition de la scène et des médias. Diam's a fait son grand retour avec un documentaire après avoir disparu du monde médiatique pendant plusieurs années. Salam, un film produit par Brut a fait un carton au cinéma avec près de 90 000 personnes dans les salles obscures en seulement deux jours. Rien que vendredi 1er juillet, il avait totalisé 50 000 entrées, dépassant Top Gun Maverick au classement des films les plus visionnés au cinéma du jour Le film revient sur l'histoire de la rapeuse après la fulgurante ascension qu'elle a vécue dans les années 2000. La chanteuse de "La Boulette" explique ses difficultés face à la notoriété, sa dépression ainsi que sa conversion à l'islam qui a l'époque a marqué la France entière. Diffusé à l'automne sur BrutX Produit par Brut le documentaire a d'abord été montré en grande pompe lors du dernier Festival de Cannes avant de sortir au cinéma, mais pour deux jours seulement. Pour ceux qui ne l'ont pas encore vu, il faudra attendre l'automne où il sera diffusé sur la plateforme BrutX. Diam's s'est adressé à ses fans lundi 4 juillet sur Instagram, le temps de les remercier et d'annoncer son départ, une nouvelle fois, des réseaux sociaux. "J’aurais aimé trouver les mots justes pour vous dire ce que je ressens mais je pense que je ne les trouverai jamais. Vous ne pouvez pas savoir combien j’ai pleuré, combien mon cœur a été touché", a-t-elle écrit. “C’est si beau ce qu’il s’est passé avec Salam… si beau de constater que l’on peut encore partager de si beaux moments et de si profonds sujets, a déclaré l'ancienne rappeuse. Je me coupe des réseaux sociaux mais je ne me coupe pas de vous... J’ai laissé un lien en bio où vous pouvez m’écrire”, conclu-t-elle.
Jai débuté ma carrière à 15 ans. A l’âge où d’autres enfants de mon âge sont toujours à l’école, moi je suis monté sur scène pour ne plus jamais la quitter. Je dois dire que la chanson n’a pas toujours été mon gagne-pain. J’ai travaillé comme typographe dans plusieurs imprimeries, avant de finalement me lancer à 6 January 2019 29 membres Le racisme dans le football. Tous racontent, à leur manière, ce qu’ils ont vécu, et confessent leur ressenti. Olivier Dacourt nous emmène également à la rencontre d’entraîneurs, d’arbitres et de dirigeants ceux qui, sur le terrain ou en dehors, ont le pouvoir de faire changer les choses. Il se confronte enfin à un supporter qui justifie le fait d’insulter des joueurs en raison de la couleur de leur peau. Options Fiche TheMovieDB

Unpremier cas de transmission de la variole du singe de l'être humain au chien a été rapporté la semaine dernière dans le journal médical The Lancet. Il s'agit de deux hommes contaminés

Publié le vendredi 24 Août 2018 à 14h03 C’est la chanteuse qui a poussé l’animatrice à révéler le mal dont elle souffre depuis 10 ans. © TF1En mars dernier, Laurence Boccolini rendait pour la première fois publique la maladie qui la fait souffrir depuis dix ans une polyarthrite rhumatoïde. Dans une interview accordée à Télé Loisirs, l’ex-présentatrice du "Maillon faible" confie ce qui l’a poussée à enfin parler de ce mal dont elle avait jusque-là honte. "Un jour, lors d’un enregistrement de 'Money Drop', Hélène Ségara, qui a eu un très grave problème à l’œil, m’a vu énormément souffrir. Elle m’a dit 'Tu ne dois pas avoir honte. Parles-en, ça va te faire beaucoup de bien'. J’avais peur des réactions mais je l’ai finalement écoutée."Un choix qu’elle ne regrette pas. "Je ne pensais pas qu’il y aurait autant de retombées. Je n’ai pas fait cela pour que l’on me plaigne. Loin de là… C’était pour que les gens comprennent pourquoi on est parfois fatigué, pourquoi on prend du poids à cause du traitement." Son rapport à sa maladie a depuis évolué "Avant, je cachais mes mains, ce que je ne fais plus. La polyarthrite rhumatoïde peut être très violente, notamment lors des périodes de crise. Elle touche toutes les articulations, et pas seulement les mains.""Je ne suis pas squelettique"Laurence Boccolini est aussi revenue sur sa perte de poids spectaculaire, qu’elle a affichée cet été au travers de photos publiées sur les réseaux sociaux. Depuis, elle reçoit de nombreux messages de félicitations et d’encouragement, mais comme toujours malheureusement sur le web, il y a aussi certains propos plus malveillants. "Vous verrez qu’il y a toujours la dizaine d’internautes habituels qui vous démontent et vous disent 'Vous êtes moche'. J’ai malheureusement tendance à me focaliser sur ceux qui ne m’aiment pas. Je suis comme cela. Mais c’est vrai que je reçois 99 % du temps des messages bienveillants." Pour autant, elle ne veut s’épancher davantage sur sa nouvelle ligne. "Un jour, je le ferai peut-être. Mais pas maintenant. Et puis, je ne suis pas squelettique non plus !"
Ellecherche toujours l’amour : "Je ne désespère pas. Je sais qu’il y a des hommes biens. C’est tout ce que je souhaite pour les femmes que je connais et pour moi. Je fais attention maintenant. Et je sais que mes amies aussi. Ça nous a rapprochées. Il n’est pas question que notre amitié soit mise en péril par un mec. Et si les
Le racisme n’épargne pas les terrains de foot cris de singe, insultes, lancers de bananes… Beaucoup de joueurs subissent régulièrement des humiliations en raison de la couleur de leur peau. Même les vainqueurs de la Coupe du Monde de Foot ont été réduits, sur les réseaux sociaux ou dans certains médias, à la couleur de leur peau C’est l’Afrique qui gagne ! », a clamé l’animateur Trevor Noah dans le Daily Show » sur Comedy Central. D’autres les ont comparés à des singes avec un ballon », ou qualifiés de champions du tiers-monde ». Truffé d’archives, ce film d’Olivier Dacourt et Marc Sauvourel donne la parole à tous les acteurs du football, joueurs, arbitres, entraîneurs et présidents de club. Gianni Infantino, président de la Fifa, s’abrite derrière clubs et fédérations, leur renvoyant la responsabilité d’éradiquer le phénomène. Les joueurs, eux, livrent des témoignages édifiants. Des bananes, Joseph-Antoine Bell, premier gardien noir du championnat français, en a reçu. C’était au Stade-Vélodrome, en 1989. Presque trente ans plus tard, Samuel Umtiti, international français, se dit choqué […] qu’on entende encore des cris de singe » dans les tribunes. Mario Balotelli, international italien, cible favorite des tifosi , l’est aussi par certains supporters français, à Dijon ou à Bastia. Tous regrettent que les sanctions ne soient pas plus exemplaires. A l’instar de Samuel Eto’o Il faudrait que tous les joueurs de couleur arrêtent de jouer. Beaucoup de gens perdront de l’argent, en premier lieu les télés, dont les patrons devront mettre la pression sur les instances dirigeantes du football. Et les choses changeront. » La suite après la publicitéOlivier Dacourt, lui, s’est assis face à un supporter, fasciste assumé du club de Vérone. Celui-ci, fier de son tatouage de Mussolini, lui avait assené L’Italie est blanche. » Les singes sont certainement bien mieux que ces gens-là, analyse Balotelli, c’est sûr à 100 % qu’un singe est plus intelligent qu’eux ! »Dimanche 6 janvier à 21h sur Canal+. Le racisme dans le football ». Documentaire d’Olivier Dacourt et Marc Sauvourel 2018. 1h30. Disponible en replay sur
Jene suis pas un singe en streaming direct et replay sur CANAL+ | myCANAL Madagascar Les stades sont régulièrement le théâtre d'actes racistes, dont découlent parfois des gestes
l'essentiel Amené en Ariège par la traditionnelle vague des mutations du 1er août, le capitaine Kieran Zago a pris à 31 ans la tête de la compagnie de gendarmerie départementale de Foix. Entretien. Le capitaine Kieran Zago a pris le 1er août les fonctions de commandant de la compagnie de gendarmerie départementale de Foix. À 31 ans, il chapeaute ainsi les quatre brigades territoriales autonomes de La Bastide-de-Sérou, Lavelanet, Tarascon et Quérigut, la communauté de brigades d’Ax-les-Thermes, une brigade de recherche, ainsi qu’un Psig Sabre peloton de surveillance et d’intervention pour les interventions les plus délicates. Une centaine de militaires sont sous ses ordres. Quel a été votre parcours ? Je suis natif de Rouen, où je suis resté jusqu’à mes 18 ans. Après un bac scientifique, j’ai fait mes études à Sciences-Po jusqu’en 2014, à Aix où j’ai également obtenu un Master 2 en Affaires publiques. Je suis alors entré à l’école des officiers de la gendarmerie, d’où je suis sorti en 2016 avec en plus un MBA master of business administration en management de la sécurité. De 2016 à 2019, j’ai commandé la communauté de brigades de Verneuil-sur-Avre, dans l’Eure. Promu capitaine en 2019, j’ai été muté à Paris en tant qu’officier analyste du renseignement à la Direction générale de la Gendarmerie nationale. Et depuis le 1er août, je suis affecté au terme de trois années comme commandant de compagnie et je découvre pour la première fois le territoire est votre réaction à cette découverte ?C’est une heureuse découverte. Je ne suis pas familier du paysage montagnard, si ce n’est en vacances et plutôt dans les Alpes. Je suis vraiment subjugué par la beauté des paysages et j’ai vraiment apprécié le premier accueil des Ariégeois, qui se démarquent par une humanité qui est très agréable. Je ne suis pas du tout aguerri aux sports de montagne – je suis plutôt sports collectifs, fan de football et supporter du PSG depuis que je suis petit – mais je compte profiter de ma présence ici pour essayer le canyoning et le sont vos objectifs ?Nous allons bien sûr assurer la sécurité publique de manière générale, c’est le fondement de notre mission. Il s’agit d’être une aide véritable pour la population, d’être une force non seulement d’intervention, mais également de conseil et de bienveillance pour les citoyens et les le plan opérationnel, nous avons un axe majeur sur la circonscription de la compagnie, la RN 20. Comme on l’a vu récemment avec l’accident de Savignac-les-Ormeaux, c’est un axe qui peut s’avérer dangereux. Je prends le commandement avec un accident qui a fait six morts et j’ai conscience que mes hommes vont devoir assurer une présence aussi bien pédagogique que répressive sur la RN 20. Cet axe est aussi emprunté par des trafiquants de marchandises qui se fournissent en Andorre. Nous allons œuvrer pour endiguer ce est également sur un territoire très vert, qui se distingue par un environnement exceptionnel. Aujourd’hui, nous sommes face à une crise climatique et environnementale qui nous alerte. Les gestes du quotidien ne sont pas négligeables dans cette lutte et la compagnie de Foix aura également pour priorité de renforcer les liens avec les élus pour lutter contre les atteintes à l’ et c’est dans la continuité des actions déjà menées, nous voulons être vraiment une force d’assistance aux victimes, et je pense notamment aux victimes de violences intrafamiliales. Nous avons aujourd’hui des campagnes gouvernementales qui commencent à porter leurs fruits, puisqu’il apparaît que de plus en plus de victimes arrivent à sortir du silence. Je ne conçois pas que mes militaires ne puissent pas être force d’écoute, de conseil et d’assistance aux ce sujet, on a pu reprocher à la gendarmerie, par le passé, de ne pas toujours savoir accueillir et accompagner ces victimes…La gendarmerie dispense des formations sur les violences intrafamiliales qui sont préparées en concertation avec des professionnels de ces problématiques. Nous avons justement des référents VIF violences intrafamiliales, ndlr en gendarmerie départementale. Pour les victimes mineures notamment, il y a des formations et des référents "auditions Mélanie" et j’en ai une à Foix. C’est une formation très pointue pour pouvoir auditionner les mineurs victimes de violences ou de viol. La gendarmerie ne navigue pas à vue sur ces problématiques qui sont plus que souhaitez-vous dire aux militaires sous vos ordres ?J’apprends à connaître mes militaires. C’est un métier très singulier, atypique, qui joue sur la santé, la vie de famille, il faut vraiment avoir un sens de l’engagement particulier pour le choisir. J’ai toute confiance en leurs qualités et en leur capacité à accomplir leurs missions de manière exemplaire. Je suis fier de mes militaires et heureux de travailler avec eux. Aprèsle grand succès de Ma Part d’Ombre, l’an dernier, Olivier Dacourt propose un second documentaire foot évènement : "Je ne suis pas un Singe" - le Racisme dans le Partager la publication " Je ne suis pas un singe », un reportage éloquent" FacebookTwitter Encore un très bon reportage d’Olivier Dacourt sur canal+, Je ne suis pas un singe ». Mais plusieurs choses sont à relever, et notamment l’intervention de Noël Le Graët. Après Ma part d’ombre, Olivier Dacourt a donc remis cela avec un reportage sur le racisme dans le football. Evidemment, on n’a pas découvert que cela existait, on le sait depuis longtemps. Mais cela valait le coup d’entendre les acteurs. On ne va pas revenir sur les cris de singe, ni sur ce supporter d’Hellas Verone qui dit qu’il a étudié et donc qu’il est fasciste par conviction et idéologie, c’est tellement triste… En revanche, on peut comprendre le malaise de Balotelli et son comportement décalé. Oui, l’italien d’origine ghanéenne a dû souffrir de maux d’une extrême violence. Ajouté à cela la notoriété, l’argent, les femmes, tout cela très jeune, et il n’y a pas à chercher plus loin les explications à ses problèmes de comportement. Le vrai problème, ce sont les témoignages d’anciens joueurs ou de ceux en fin de parcours. Pourquoi, aujourd’hui, ils veulent que les noirs quittent les terrains, qu’ils s’unissent pour ne pas jouer ? Pourquoi demandent-ils aux autres, et avec force, de faire ce qu’ils n’ont jamais eu le courage de faire eux-mêmes ? Là, on parle de racisme anti-noir avec des cris de singe, parce que c’est la partie la plus choquante, la plus honteuse. Dans le reportage, on parle également des caricatures qui entourent le joueur noir avec sa puissance physique mais son manque d’intelligence. C’est marrant, quand j’ai parlé de cela dans l’after, certains anciens pros ont tweeté que je n’y connaissais rien. Mais finalement, le racisme existe dans le foot, que ça plaise ou non. Pour les joueurs noirs, on connaît donc les raccourcis, n’est-ce pas M. Sagnol. Mais ça existe pour tous. Dire des maghrébins qu’ils sont doués techniquement mais ingérables, c’est quoi ? Dire des italiens que ce sont des tricheurs, c’est quoi ? Dire que si on veut recruter un joueur avec une mentalité de guerrier, il faut aller chercher en Argentine, c’est quoi ? Tous ces préjugés, ces caricatures sont monnaie courante dans le football. On ne les relève pas parce qu’elles sont positives. Sauf, qu’en réalité, elles sont négatives pour les autres. Il n’y aurait donc que les argentins qui auraient cette soif de combattre ? Est venue, ensuite, la partie où on nous dit qu’il n’y a pas d’entraineurs maghrébins ou noirs au plus haut niveau. Sérieux ?? Quel scoop !!! Le président niçois a même dit qu’il avait pris Vieira sans s’occuper de son passé de champion du monde. C’est une blague. Je ne lui fais aucun procès d’intention car c’est un Président que je trouve compétent et intelligent. Mais évidemment que si Vieira n’avait pas fait partie de France 98, il n’en serait pas, ne soyons pas naïfs. Mais la cerise sur le gâteau est venue de M. Noël Le Graet. Déjà, sa déclaration sur le fait que Dacourt faisait un reportage bizarre » interroge. En quoi est-il bizarre ce reportage ? Mais alors quand il dit que les noirs et les arabes ne passent pas leurs diplômes, j’ai failli m’étouffer. Oui, M. Le Graët, les arabes et les noirs passent leurs diplômes, mais ils arrêtent au niveau que vous tolérez, c’est à dire avant le monde professionnel. Pour rappel, pour avoir accès au graal !!! le BEPF, il y a déjà un nombre de critères à remplir qui frise le ridicule. Mais même quand vous les remplissez, il y a ensuite une sélection. Et oui, il y a une quinzaine de place seulement, donc il y a les anciennes stars, puis les copains, puis les fils de, puis les obligations d’un ou deux coachs qui ont fait monter leur équipe… puis il y a les autres. Autant dire que pour cela, le dossier n’a même pas été ouvert tellement ils arrivent loin après tout le monde. Evidemment, le président de la FFF nous a sorti le fameux j’ai pris un noir, j’ai pris Diomède ». Déjà, il est champion du monde 98, mais c’est la phrase typique du je ne suis pas raciste, j’ai une amie encore plus noire qu’une arabe !!! »Nadine Morano. Et ce n’est pas une question de compétence. Allez voir le nombre de coachs arabes et noirs dans les divisions inférieures. Demandez à Mbappé, Pogba, Kanté, Sakho qui étaient leurs entraineurs dans leurs petits clubs de départ et grâce à qui ils sont devenus ce qu’ils sont aujourd’hui. La vérité, c’est que les coachs arabes et noirs, on en a besoin dans les petites catégories, où à des niveaux où les joueurs ne sont pas professionnels, pour les gérer. En gros, entrainez dans le 93, c’st là qu’on a besoin de vous !!! Après, là-haut, le niveau professionnel, les salaires plus élevés, ce n’est pas pour ces gens-là. Restez à votre place, on vous a déjà donné quelques diplômes, ne soyez pas trop gourmands. D’ailleurs, on a tellement ancré cela, cette hiérarchie, dans la tête des gens, que même en Afrique, par exemple, on pense comme cela. Pourquoi Djamel Belmadi a pris Serge Romano comme adjoint, lui qui a échoué partout où il est passé ? Pourquoi tout le monde a été surpris et impressionné par la coupe du monde du Sénégal dirigé par Aliou Cissé ? Quand on voit les joueurs qui composent l’équipe, ce n’est pas comme s’il avait réalisé un miracle. On pourrait continuer longtemps comme cela Pourquoi Alain Giresse continue à trouver du travail en Afrique, Pourquoi l’Algérie fait appel à autant d’entraineurs français de seconde zone etc… Tout simplement parce qu’on a décrété que les arabes et les noirs étaient de bons joueurs, mais pas assez intelligents, pas assez disciplinés pour diriger des équipes professionnelles. Et oui, paradoxalement, malgré la mixité dont il est peuplé, et qu’on le veuille ou non, qu’on l’accepte ou non, il existe dans le football des préjugés, des idées racistes. Un célèbre sélectionneur espagnol n’avait-il pas déclaré que la France était une équipe athlétique grâce à son immigration ? N’avait-il pas aussi déclaré, en pleine séance, à un de ces joueurs montre au nègre que tu es plus fort que lui », en parlant de Thierry Henry ? Aurait-il remplacé le mot nègre par blanc en parlant de Pirlo ? Se serait-il permis de dire le rital ? Bref… Terminons quand même par le plus ridicule avec la FIFA qui pense faire des actions efficaces avec ses fameux clips Say no to racism »… Sans commentaire. Partager la publication " Je ne suis pas un singe », un reportage éloquent" FacebookTwitter
JENE SUIS PAS UN SINGE. Un film de Olivier Dacourt et Marc Sauvourel. Réalisation : Olivier Dacourt, Marc Sauvourel. Mise en images : David Tiago Ribeiro. Production : Canal+. Moyens
Il a marqué la musique mauricienne avec ses morceaux à succès comme Anita my love ou Kari poson. Mario Armel a fêté ses 75 ans en juin dernier. Même si les cheveux sont de plus en plus grisonnants, il a gardé la même verve. Il s’apprête à marquer ses 60 ans de carrière avec un album, où il chante en duo avec des jeunes et fort probablement, en prime un grand concert. L’occasion pour lui de revenir sur sa carrière qui l’a emmené jusqu’en Afrique du Sud, en pleine période de l’apartheid. - Publicité - Vous venez de célébrer vos 75 ans et vous fêtez bientôt vos 60 ans de carrière. Quel est votre regard sur ce parcours ? J’ai débuté ma carrière à 15 ans. A l’âge où d’autres enfants de mon âge sont toujours à l’école, moi je suis monté sur scène pour ne plus jamais la quitter. Je dois dire que la chanson n’a pas toujours été mon gagne-pain. J’ai travaillé comme typographe dans plusieurs imprimeries, avant de finalement me lancer à plein temps dans la musique. Ce choix était évident car je viens d’une famille de musiciens. Mon père faisauit partie de la Police Band. Ma maman était pianiste. Ma grande sœur chanteuse. Mon grand-père maternel était lui, professeur de musique. Donc, je leur ai emboîté le pas, tout naturellement. Je suis né à la rue Condé à Port-Louis. Plus tard, nous avons bougé à l’impasse Labourdonnais et j’avais comme voisin un certain M. Mardemootoo. Il avait un orchestre et faisait de la musique avec mon père. Il m’a appris à jouer de la guitare à la dure. Mon premier groupe s’appelait Universal Band, ensuite il y a eu Traveller’s Band. A l’époque, je ne chantais pas encore le séga. Je faisais de la variété et on me surnommait le Mike Brant mauricien. Je venais de rentrer de Madagascar et j’interprétais Laisse-moi t’aimer, qu’on n’écoutait pas encore à Maurice. Et puis, j’avais toujours mes longs cheveux.. Dans les années 60, j’ai intégré les Night Birds et c’est là que j’ai commencé à travailler dans le circuit des hôtels. Ensuite, j’ai rejoint le Hot Club de Rose-Hill du regretté Baby Savripène. A cette époque, il y avait une grande rivalité entre les habitants de Rose-Hill, Beau-Bassin et Port-Louis. Mes amis et moi n’étions pas trop contents du nom du groupe étant donné que nous venions de Port-Louis. Nous en avons donc parlé à Baby qui a finalement tranché pour renommer le groupe Hot Club tout court. Il y a eu aussi les Night Birds. Ce groupe animair régulièrement les mariages et les fancy-fairs. C’est avec les Hot Sounds of Mauritius que ma carrière allait toutefois prendre une autre tournure. Vous avez effectivement décroché un contrat pour travailler en Afrique du Sud. Comment cela s’est passé ? Dans les années 70 je jouais dans les hôtels. A l’époque, il n’y avait pas beaucoup de compétition dans ce secteur. C’était Baby Savripène qui avait le contrat avec le Mauritius Hotel Group. On jouait cinq jours par semaine pour un salaire mensuel de Rs 315. Un beau jour, quelqu’un m’a approché, pour me demander si je n’étais pas intéressé pour me produire à l’étranger. Nous avons bien sûr sauté sur l’occasion. Pour nous empêcher de partir, l’hôtel a proposé une augmentation, soit passer de Rs 315 à… Rs 325. Nous avons choisi de partir. Je dois avouer qu’à cette époque, je ne maîtrisais pas l’anglais. A part yes, no’ qu’on utilisait même de travers…Heureusement que j’avais un copain, Jimmy Tegally qui, lui connaissait un peu l’anglais et il me servait d’interprète. Il m’aidait beaucoup lors de la signature du contrat. En Afrique du Sud, nous avions fait des ravages avec l’orchestre Hot Sounds of Mauritius. Un journal a même écrit un jour que nous étions l’un des meilleurs orchestres du Southern Sun, le groupe hôtelier. Ensuite, nous avons eu la chance de faire deux albums avec Columbia Broadcasting System. C’est là qu’on a eu Anita my love et Lullaby, entre autres. On avait écrit sur l’album Hot Sounds of Mauritius and sega music. A cette époque, l’apartheid battait son plein en Afrique du Sud. Comment avez-vous vécu cela ? Il faut dire que les gens qui venaient nous voir à l’hôtel n’étaient pas des gens de couleur. Ils y étaient interdits. En même temps, il y avait beaucoup de tensions à Johannesburg. C’était chaud. Un jour, alors que notre anglais commençait à se développer, nous avons fait savoir au directeur de l’hôtel que nous venions d’un pays multiracial et multiculturel et que nous n’étions pas très à l’aise dans ce système. C’est là que les gens de couleur ont été aussi autorisés à venir assister aux spectacles. En revanche, on nous a fait un mauvais coup dans le dos. Alors que la grève éclatait et qu’on devait quitter le pays en vitesse, le directeur est venu avec un nouveau contrat et m’a demandé de signer. Dans la précipitation, je n’avais pas remarqué que c’était un engagement pour 14 ans… Ce n’est qu’une fois rentré à Maurice qu’on s’est rendu compte de cela. Evidemment, on a refusé et on s’est retrouvé face à un Breach of Contract. On a perdu beaucoup d’argent. Vous avez fait le choix de ne pas reprendre le rythme traditionnel du séga à l’époque. Pourquoi ? Je voulais montrer une autre facette de la musique mauricienne. J’ai opté pour la fusion. En même temps, j’avais travaillé à l’hôtel et j’avais vu comment le séga était exploité. Il fallait faire plaisir aux touristes, il fallait que les danseuses lèvent leurs jupes le plus haut possible… Je ne voulais pas m’associer à tout cela. A l’époque de Ti-Frer, les danseuses avaient trois ou quatre doublures sous leur jupe. Mais tout cela avait disparu pour satisfaire les yeux des touristes. En même temps, j’avais aussi mes propres influences musicales. J’étais influencé par la musique latine que j’ai voulu incorporer à mon style. Et je pense avoir fait le bon choix. Voyez tout le succès que j’ai eu avec Anita my love. Je ne critique personne, mais personnellement je suis fier de mon choix. Je ne renie pas mes origines, d’ailleurs, partout où je vais chanter, j’apporte mon quadricolore mauricien. Quand on voit la place qu’occupe la fusion dans la musique mauricienne aujourd’hui, on peut dire que vous étiez en avance… Je dois dire que j’ai eu beaucoup de critiques à l’époque. Puis, un jour, un journaliste a écrit que ceux qui critiquent Mario Armel, doivent le réécouter après 20 ans. Ce qui veut dire qu’en quelque sorte, j’étais en avance, oui. En parlant de fusion, j’ai entendu des jeunes qui ont fait de belles choses, mais il y en a aussi d’autres qui me font vraiment honte. J’ai vu un morceau sur You Tube, qui ne contient que trois mots, sans compter toute la vulgarité qui va avec… Et tenez-vous bien, cette chanson a récolté 50 000 views ! Où allons-nous ? Venant d’une famille musicale, mes oreilles ne peuvent tolérer de telles choses. Vous avez aussi été frappé par la censure, avec le morceau Kari Poson. Cela vous a-t-il marqué ? Il y a eu deux morceaux qui avaient créé un scandale en fait. D’abord, il y avait Fam Kanay. Il y a un journaliste qui avait rapporté que j’avais dit dans la chanson fam ras pli kaka lor later’ alors que c’était fla fla’. Du coup, non seulement la chanson était interdite à la radio, mais les femmes s’en prenaient à moi en public et me menaçaient avec leurs parasols. Je me suis expliqué avec le journaliste et il a reconnu ses erreurs, mais la balle était déjà partie. Ensuite, il y a eu effectivement le fameux Kari Poson. Dans un premier temps, ce n’était pas moi qu’on avait attaqué. C’était Roger Clency qui l’avait repris. Ensuite, quand j’ai enregistré la chanson plus tard, j’ai connu le même sort, à cause des sensibilités culturelles, alors que je n’avais rien dit de mal. Je me souviens que lorsque je me suis rendu à la MBC pour présenter mon disque, à peine Pamela Patten avait lancé la chanson, elle reçut un appel, l’intimant de l’arrêter tout de suite, faute de quoi elle perdait sa place. Mais quelques années plus tard, alors que j’étais en Côte d’Ivoire, j’ai décidé de refaire le morceau et de changer les paroles, afin de ne pas blesser les susceptibilités. Et cela a donné le résultat qu’on connaît. Tout cela ce sont des expériences et on apprend. Selon vous, pourquoi le séga mauricien n’a pu s’imposer à l’international ? Pour que les gens adoptent une musique, il faut qu’ils puissent danser dessus. Quand nous avons fait notre album en 1974, nous avions même expliqué comment danser le séga dans un livret. Voyez la lambada par exemple, cela a marché parce qu’il y avait une danse, certes sexy, mais pas vulgaire, qui allait avec. Et puis, il faut dire qu’à Maurice, pour réussir, il faut toujours avoir de l’argent. Il fut un temps où les gens allaient donner leurs disques pour passer à la radio, avec une enveloppe en dessous, pour soudoyer l’animateur et avoir la chance d’être programmé. J’espère que ce n’est plus le cas aujourd’hui. Après 60 ans de carrière, vous voulez passer le flambeau ? J’ai dit à tous mes enfants de ne pas faire de la musique leur métier, mais ils l’ont fait quand même. De même, j’ai toujours cherché à promouvoir de jeunes talents. Je prépare actuellement un album pour mes 60 ans de chansons et je chante en duo avec plusieurs jeunes chanteurs. C’est mon fils Ilario qui produit l’album. Par contre, nous ne savons pas encore si cela va sortir sous forme de CD ou en streaming, nous réfléchissons encore. Si tout se passe bien, nous allons aussi proposer un concert. Ce sera une manière de célébrer mon anniversaire et en même temps, de passer le flambeau aux jeunes. Et si c’était à refaire, vous opteriez pour la même carrière ? Oui et sans hésitation. La musique m’a apporté tant de choses. Même si elle n’a pas fait de moi un homme riche, je suis un homme comblé. JasonIsaacs va incarner Cary Grant dans un biopic de la légende hollywoodienne FIL DES STARS Toute l'actualité people est dans « 20 Minutes » 20 Minutes avec agences Publié le 08/08/22 à

Zoophiles, des pays les autorisent encore ! Rédigé par , le 5 May 2015, à 17 h 25 min Le Danemark vient d’interdire officiellement, enfin, la zoophilie, mardi 21 avril 2015. A partir du 1er juillet 2015, les touristes zoophiles ne seront donc plus admis. Pourtant, certains pays n’ont toujours pas interdit cette pratique. ConsoGlobe dénonce Il est, selon consoGlobe, absurde que le Danemark ait mis autant de temps à rendre la zoophilie illégale, et que toute l’Europe ne l’ait pas encore fait. Nous encourageons par nos articles et conseils nos lecteurs à prendre soin de soi, des autres, et de l’environnement. Nous croyons que la manière dont nous traitons les animaux est révélatrice de notre appréhension du monde. Nous sommes donc contre l’exploitation des plus faibles au bénéfice de notre plaisir unilatéral. Selon consoGlobe, l’interdiction de la zoophilie devrait être uniformisée au niveau européen, par une directive. Les zoophiles ne sont plus tranquilles en Europe Les zoophiles danois ont longtemps été tranquilles L’interdiction des pratiques sexuelles avec les bêtes au Danemark n’est que la dernière en date. Auparavant, en Suède, cette pratique était prohibée uniquement dans le cas où les souffrances de l’animal pouvaient être démontrées. Mais depuis le 1er janvier 2014, les relations sexuelles avec un animal sont sanctionnées en Suède d’une amende et/ou d’une peine de prison de deux ans maximum, même si l’animal ne porte pas de trace de blessures. Le Danemark ne voulait pas rester comme l’un des derniers pays d’Europe à autoriser la pratique, attirant ainsi un tourisme très particulier. Un grand favori Cette interdiction intervient après celle de l’Allemagne en décembre 2012, suite à une campagne efficace des vétérinaires allemands. Elle intervient aussi après des interdictions similaires en France 1971, Belgique 2007 et au Royaume-Uni 2003. La peine encourue en Allemagne reste moins sévère que chez ses voisins européens euros d’amende, même si aucune blessure n’est constatée. En France, la sanction est de euros d’amende et de deux ans de prison. En Suisse, la sanction monte à trois années d’emprisonnement. Zoophiles du monde entier, unissez-vous ? Cette relative tolérance s’explique peut-être par des pressions politiques. Citons par exemple le contre-lobbying de l’association de défense des droits des zoophiles allemande ZETA, pour Zoophiles Engagement für Toleranz und Aufklärung – qui, lors des débats parlementaires de 2012, souhaitait empêcher la discrimination et la persécution des zoophiles en Allemagne ». L’association, ainsi que la très officielle fédération des zoophiles du monde étaient présidées à l’époque par un certain Michael Kiok. Kiok estime les zoophiles persécutés ». Lui qui vit, épanoui, avec sa chienne – un berger allemand – revendique le droit de faire l’amour » avec les animaux. Il déclarait au moment des débats résister à son attirance envers les chevaux Je me tiens à distance. J’ai peur de tomber amoureux ». Le président actuel de la ZETA est aujourd’hui David Zimmermann, qui vit à Berlin avec ses partenaires humains et animaux ». Le meilleur ami de l’homme ? Au Danemark, le parti libertaire s’est insurgé contre la loi, estimant que dans le meilleur des cas, c’est une loi superficielle. Dans le pire des cas, c’est du populisme politique et du moralisme ». La zoophilie encore légale dans trois pays européens Hongrie, Roumanie, Finlande, dernier refuge de la bestialité légale Trois pays européens n’ont pas interdit explicitement dans leur législation, et autorisent donc, implicitement, la zoophilie la Roumanie, la Hongrie, et la Finlande. En Espagne, c’est la maltraitance des animaux qui est plus spécifiquement visée. Ailleurs dans le monde, le champ est assez libre. Il n’existe pas de loi fédérale aux États-Unis condamnant la pratique, mais la plupart des états l’interdisent. Elle est condamnée au Canada. Mais légale au Japon… Il est difficile de prouver qu’un animal souffre quand un humain l’utilise pour des relations sexuelles, et c’est pourquoi nous devons donner à l’animal la protection et le bénéfice du doute. Dan Jørgensen, ministre danois des affaires rurales responsable du texte de loi Sujet tabou – combien sont les soi-disant amoureux des animaux » ? Les vétérinaires peuvent témoigner de sévices sexuels sur les animaux, notamment le groupe Vétérinaires contre la zoophilie ». De même le Conseil d’Ethique Danois pour les Animaux avait fait part de mentions fréquentes de spectacles organisés de sexe avec des animaux et de bordels à animaux au Danemark », sans, affirme-t-il, avoir pu vérifier la véracité de ces mentions. Un rapport de 2011 du ministère de la justice danois évaluait quant à lui à 17 % le nombre d’animaux examinés par les vétérinaires ayant fait l’objet de relations sexuelles avec des humains. Toutefois, aucune statistique officielle n’est collectée et disponible sur le sujet. ZETA estime toutefois à en Allemagne le nombre de personnes qui s’avoueraient attirées sexuellement par des animaux. En milieu urbain, ce sont les chiens qui attirent le plus ; ce sont les vaches, les chevaux, les moutons et les cochons en milieu rural. consoGlobe vous recommande aussi... Rédigé par Nolwen Fan de consoGlobe depuis longtemps, j'apprécie de contribuer à son incroyable richesse de temps en temps pour redonner un peu de ce qu'il m'apporte une... Voir sa fiche et tous ses articles Devenir rédacteur

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